Si j'étais président de la S.N.C.F.
Si j'étais maître du monde des trains de la France, voici mes premières mesures :
- Installer des brouilleurs d'ondes GSM afin de désactiver tous les téléphones portables dans les wagons. Les "plate-formes" (terme pompeux pour désigner l'espace entre deux wagons à côté des toilettes) sont prévues pour passer les conversations téléphoniques bruyantes.
- Donner aux contrôleurs et agents de la S.N.C.F. toute autorité pour verbaliser (premier avertissement, suivi d'une amende en cas de récidive) les nuisances sonores provoquées par des appareils, qu'il s'agisse des utilisateurs qui regardent leur film sur leur ordinateur sans casque, de ceux qui profitent de leur voyage en train pour essayer toutes les sonneries de leur téléphone portables, ou de ceux qui écoutent leur musique sur les hauts-parleurs intégrés de leur téléphone
- Simplifier la présence sur Internet de la S.N.C.F.
Non seulement les sites Internet sont inexplicablement nombreux, mais en plus ils ne reprennent visiblement pas tous les mêmes informations. J'ai beau y réfléchir, je ne vois pas beaucoup d'explications satisfaisantes : soit le lobby des créateurs de sites web a trouvé à la S.N.C.F. une oreille très attentive, soit il s'agit d'une "bidouille administrative" simulant la présence de plusieurs compagnies de train concurrentes en France, soit un esprit diabolique a tenté (et réussi !) la création d'un nébuleux labyrinthe virtuel pour y perdre le fou qui s'égarerait à tenter de comparer un même trajet en T.G.V. et en T.E.R...
- Idem sur les applications mobiles : pourquoi pas une seule application au lieu de deux (SNCF Direct et Voyages-sncf) ? Pourquoi n'arrivent-elles pas à communiquer ensemble (la première ne parvient pas à reprendre mes voyages, qui sont inscrits dans la seconde) ?
- Côté ordinateur, là c'est plus simple : sur Mac une seule application (Horaires SNCF) tellement cachée sur Internet qu'on se demande dans quelle mesure elle est officiellement développée et supportée par la S.N.C.F.. Question dont l'intérêt s'efface devant un simple fait : l'application plante systématiquement dès la moindre recherche, elle est donc tout simplement inutilisable.
- Installer des brouilleurs d'ondes GSM afin de désactiver tous les téléphones portables dans les wagons. Les "plate-formes" (terme pompeux pour désigner l'espace entre deux wagons à côté des toilettes) sont prévues pour passer les conversations téléphoniques bruyantes.
- Donner aux contrôleurs et agents de la S.N.C.F. toute autorité pour verbaliser (premier avertissement, suivi d'une amende en cas de récidive) les nuisances sonores provoquées par des appareils, qu'il s'agisse des utilisateurs qui regardent leur film sur leur ordinateur sans casque, de ceux qui profitent de leur voyage en train pour essayer toutes les sonneries de leur téléphone portables, ou de ceux qui écoutent leur musique sur les hauts-parleurs intégrés de leur téléphone
- Simplifier la présence sur Internet de la S.N.C.F.
Non seulement les sites Internet sont inexplicablement nombreux, mais en plus ils ne reprennent visiblement pas tous les mêmes informations. J'ai beau y réfléchir, je ne vois pas beaucoup d'explications satisfaisantes : soit le lobby des créateurs de sites web a trouvé à la S.N.C.F. une oreille très attentive, soit il s'agit d'une "bidouille administrative" simulant la présence de plusieurs compagnies de train concurrentes en France, soit un esprit diabolique a tenté (et réussi !) la création d'un nébuleux labyrinthe virtuel pour y perdre le fou qui s'égarerait à tenter de comparer un même trajet en T.G.V. et en T.E.R...
- Idem sur les applications mobiles : pourquoi pas une seule application au lieu de deux (SNCF Direct et Voyages-sncf) ? Pourquoi n'arrivent-elles pas à communiquer ensemble (la première ne parvient pas à reprendre mes voyages, qui sont inscrits dans la seconde) ?
- Côté ordinateur, là c'est plus simple : sur Mac une seule application (Horaires SNCF) tellement cachée sur Internet qu'on se demande dans quelle mesure elle est officiellement développée et supportée par la S.N.C.F.. Question dont l'intérêt s'efface devant un simple fait : l'application plante systématiquement dès la moindre recherche, elle est donc tout simplement inutilisable.